President's Day Week-end and more

Publié le par Dolce

Cette semaine, moins de restos et plus d’exercices (histoire d’effort vs réconfort pour ceux qui suivent). J’ai encore des courbatures plein partout du cours de pilates (prononcez pilatiz) et je découvre encore des muscles dont je soupçonnais à peine l’existence. Comme quoi la vie est pleine de surprises.

Par exemple également, qu’aux Etats-Unis, on fête les Présidents. Au départ, Mr Washington, et puis aussi Lincoln et les autres, et que du coup (et c’est là que ça devient intéressant pour nous, pauvres hères), on a un jour férié en plus. Du coup, le week-end dernier était à rallonge, et on en a profité pour ne rien faire.
Partir au soleil pour quelques jours ? On y a bien pensé. On a aussi bien pensé à prévenir notre banquier que les $800 qu’on comptait sortir pour 3 jours, on lui en rapporterait une portion en jolie photo avec nos frimousses bronzées qu’il pourrait poser sur son bureau pour ne pas nous oublier.
Du coup, nous, on a oublié et on s’est fait nos mini vacances peinard. Thomas est bien allé skier dimanche, pendant que je m’appliquais à ce que tous mes doigts de pied soient bien au chaud sous la couverture et que la télécommande du lecteur de DVD soit à portée de main. Et je suis bien sortie de la maison samedi, pour une expédition chez Ikéa d’où j’en suis revenue, paraît-il, avec des choses supperflues : un petit fauteuil en rotin et des coussins colorés pour le salon, des verres, etc. Du coup, comme c’étaient Fred et Béné les gentils qui m’y avaient amenée dépenser mes deniers, on les a invités à appéroter – puis finalement bien installés, on a dîné ensemble à la maison et refait (un tout petit peu) le monde. Dimanche, donc, glandouille pour moi, pendant que Monsieur se jouait à Zzugy Gonzales, le skieur le plus rapide (de l’Ouest d’Hoboken ?).
Le soir, apéro chez Angélique, qui nous a abandonnés mercredi pour rentrer définitivement en France. Apéro achevé bien tard chez Lua, dur dur pour ceux qui travaillaient en ce lundi de Président’s Day. Je ne vous avais pas dit ? En fait c’est un jour de congé optionnel que les entreprises ne sont pas obligées de donner (traîtres) mais que Thomas et moi avions (ça va pour cette fois).
Lundi, on est allé au cinéma voir Brige to Terabithia, qui est issu du livre de Katherine Paterson que j’avais lu étant petiote. D’après mon souvenir (vague), relativement fidèle. Pas mal. Petit bémol : le film est présenté comme un remake des Chroniques de Narnya, alors que la part fantastique de Bridge to Terabithia est vraiment minime. En fin d’après-midi, j’ai accompagné Thomas qui jouait au poker avec la tribu habituelle et qui grâce à mon soutien a terminé troisième. La faute aux cartes pas glop ensuite (j’vous jure, Msieur le Juge).

Mardi soir, dîner chez Arthur’s Tavern pour le vrai départ de la Miss Angélique, avec les Hobokenites. On a beau se dire que ce n’est qu’un au-revoir-euh-mes-freres, ça fait tout de même des trucs bizarres au fond de la gorge quand on déglutit.
Mercredi, relâche. Jeudi soir, une mini soirée jeux entre amis à la maison. Ce vendredi et demain samedi : Thomas et moi sommes invités à une pendaison de crémaillère. Je sens que les réveils vont être durs ce week-end…

Publié dans La Dolce Vita

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S
ouulaaa... t as la pression ....<br /> Il faut pas oublier qu ici aux US l information a un seul sens de la circulation... le sens d' interdit de circuler...<br />  <br />  <br />  
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D
Ca vient, ca vient :)
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G
(Je recommence. Y'a quelque chose qui ne marche pas dans le système... ou dans l'utilisation que j'en fais!)On apprend par Yahoo qu'on peut "botter le derrière de Bush" à New York et tu ne fais pas un psot là-dessus. T'es malade ou quoi?
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G
FFQ
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